Généralités

De manière générale, il faut prendre son temps et rester calme. Conservez ou instaurez une routine pour les activités de la vie quotidienne, cela facilitera les repères. Pour les activités en dehors du quotidien (visite médicale, rencontre avec des voisins…), essayez de choisir les meilleurs moments de la journée.

 

Un long discours est peu efficace pour convaincre la personne de faire quelque chose ; pire encore, cela risque d’engendrer du stress, un refus voire de la colère. Il convient de ne pas insister et plutôt d’y aller par étapes, avec des instructions courtes. De plus, un peu de réconfort est toujours le bienvenu face aux difficultés.

 

Il faut rester vigilant sur l’état de santé de la personne, ainsi, des douleurs, de la fièvre, une constipation, une vision ou une audition dégradée sont autant de facteurs que la personne ne peut facilement exprimer et qui participent à son mal-être.

 

Il faut prêter attention à certains signes comme une perte d’appétit, un changement d’aspect de la peau (déshydratation), une agitation, une souffrance ou une attitude d’évitement.

 

Idéalement, les changements à opérer doivent être effectués quand la maladie en est encore à un stade léger ou modéré. En effet, il s’agit de perturbations dans le quotidien qui seront exacerbées par la progression de la pathologie. Il convient donc ne pas attendre une situation de crise et d’anticiper autant que possible.